LAURENT GBAGBO AVAIT RAISON. LA CEDEAO est un instrument manipulé par la France. Géopolitiques.

#Laurent GBAGBO #Tiani #ibrahimtraoré #assimigoita #abdourahametiani #burkinafaso #mali #niger #2023 #2024 #guerre le sahel met fin a la cedeao La nécessité de remplacer la CEDEAO se fait pressante, et il est impératif de changer les individus qui la dirigent actuellement. Monsieur le Président, la question qui se pose est pourquoi le coup d’État au Niger suscite-t-il tant d’émoi par rapport à d’autres incidents similaires que nous avons observés tranquillement par le passé? La réponse à cette question semble être enfouie dans les méandres de l’histoire politique et sociale du Niger. La situation actuelle, marquée par des réactions passionnées, soulève des interrogations quant à la nature des événements en cours. Le Niger, confronté à un coup d’État récent, semble être plus fortement affecté que d’autres pays ayant vécu des transitions politiques similaires. Il est crucial d’explorer en profondeur les raisons sous-jacentes à cette réaction particulière. Cependant, l’orateur reconnaît ne pas avoir une compréhension complète de la situation, soulignant que les circonstances ne semblent ni claires ni simples. Le discours évolue vers une réflexion sur la fréquence des coups d’État en Afrique de l’Ouest et le rôle de la CEDEAO. L’orateur souligne le manque d’étude approfondie de l’histoire des autres peuples africains par les Africains eux-mêmes, ce qui pourrait expliquer leur réaction souvent passive face aux coups d’État. Il suggère que le problème actuel au Niger devrait servir de cas d’école pour tous les Africains, les encourageant à mieux comprendre l’histoire de leurs voisins. L’orateur soulève également des préoccupations concernant les intentions de certains acteurs extérieurs qui prétendent vouloir restaurer la démocratie. Il critique les doubles standards et met en garde contre le mensonge, soulignant que la libération de Bazoum ne doit pas être confondue avec une tentative de le ramener au pouvoir. En conclusion, l’orateur exprime le souhait que la CEDEAO mobilise une force en attente pour lutter contre le terrorisme en Afrique de l’Ouest, au lieu de chercher à restaurer des leaders renversés. Il insiste sur la nécessité d’ouvrir les yeux sur les réalités complexes de la politique africaine, soulignant la prédominance des coups d’État dans les pays francophones de la région.