« Ce matin, quand il est venu, Jésus béni me transporta hors de mon corps et, me tenant par la main, il me conduisit sous la voûte des cieux, d’où on pouvait voir tous les bienheureux. On entendait leurs chants oh ! Comme ils nageaient en Dieu ! On voyait leur vie en Dieu et la vie de Dieu en eux, ce qui semblait être l’essentiel de leur félicité. Il me sembla aussi que chaque bienheureux est un nouveau ciel dans cette demeure bénie, chaque ciel distinct des autres, en conformité avec la manière dont il s’était comporté avec Dieu sur la terre.
Quelqu’un a-t-il cherché à aimer Dieu davantage sur la terre ? Il l’aimera davantage dans le Ciel et recevra de Dieu un amour toujours nouveau et grandissant. Tel autre a-t-il cherché à glorifier Dieu davantage sur la terre ? Dieu béni lui donnera une gloire plus toujours grandissante, une gloire calquée sur la gloire divine. Et ainsi de suite pour toutes les autres