Aquaporines : hydratons-nous au diapason de l’eau...

Une cellule, c’est une goutte d’eau dans un océan... Ce qui empêche l’eau intracellulaire de se disperser dans l’océan extracellulaire, c’est une membrane lipidique d’épaisseur nanométrique, bien étanche à l’eau. Oui, mais alors, comment s’hydrater dans ces conditions ? C’est ici qu’interviennent les aquaporines. Comme l’indique leur nom, ce sont des protéines inter-membranaires créant un “canal“ hydrophile dans une membrane hydrophobe. De cette manière, de petites espèces polaires (eau, dioxyde de carbone, acides, bases, ions (lactate, ascorbate), urée, glycérol, anions d’éléments trivalents ou bien tétravalents (As, Sb, Si), cations monovalents (Li, Na, K) peuvent passer du milieu extracellulaire vers le milieu intracellulaire. Chez un être humain, on dénombre pas moins de 13 aquaporines réparties dans tous les organes vitaux. Car, rappelons-le, pour les étourdis : l’eau, c’est la vie... Lorsqu’une aquaporine refuse de fonctionner, une pathologie lourde pointe le bout de son nez... Inutile de vous dire l’importance qu’il y a à avoir des aquaporines en bon état de fonctionnement. Mais, selon la physique quantique, une aquaporine est avant tout une vibration avec une fréquence bien spécifique de la fonction recherchée. Ici, on associe à chaque aquaporine de masse m, une fréquence f, selon l’équation m·c² = h·f, qui, via le diapason de la molécule d’eau (f = 429,62 Hz), donne une note de musique allant de Mi à Sol. Grâce au talent de l’ineffable Tommi Jack’s, le résultat est une musique qui fera danser vos cellules, et ce, quel que soit l’organe dans lequel elles se trouvent. Un grand merci aussi au Docteur Patrick Véret et à son épouse Cristina qui sont à l’origine des recherches qui ont conduit à l’élaboration de la nutripuncture qui nous a permis d’ordonner les aquaporines pour en faire une musique. Bonne écoute, et, surtout, bonne hydratation...
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