Vrai-faux, faux-vrai, vrai-vrai ou faux-faux, on-dit ou non-dit ?...
Cette “affaire“ qui n’en est pas une (puisqu’on n’est pas censé en parler, n’est-ce pas ?) est un curieux hologramme de notre époque avec son jeu de faux-semblants au cœur de l’état et de la vie privée du couple présidentiel...
L’ambiguïté extrême que celui-ci entretient (alors qu’il serait si facile de lever définitivement tout doute) me conduit à penser qu’il s’agit de bien autre chose que les deux catégories qui obstruent l’espace mental, “scandale d’état“ ou “rumeur transphobe“.
Une sorte d’arme à fragmentation cognitive dont l’ingénierie sociale contemporaine est friande. Et dont Macron est effectivement virtuose - à défaut de l’être dans d’autres domaines.
Une rumeur (si tant est que cela soit la clé de l’affaire) est un fait soci