Non, nous ne condamnerons pas ces violences — billet de blog Mediapart,

Lecture d’un billet de ma composition, posté sur le Club de Mediapart, le , et trouvable au lien suivant : Des êtres sensés ne recourent pas de gaieté de cœur à la violence. On s’y esquinte. On s’y traumatise. Mais lorsqu’un ordre en place lui-même violent ne laisse pas d’autre choix que de s’insurger ou d’être écrasé, l’alternative n’est plus entre la violence et la paix, mais entre la violence et la violence. La question mérite un peu de sérieux. Dans le développement, je traite de la provocation à la violence entretenue par le Président de la République, de la grandeur historique de notre lutte en cours et de l’impérieuse nécessité qu’elle soit victorieuse. Puis je reviens sur le rapport immature à la notion de légitimité démocratique entretenu par nos diri
Back to Top