R. Lehoucq sur ces quelques dialogues de fin qui de toute évidence n’y croit pas du tout contrairement à P. Guillemant qui trouve ça cohérent
Vous trouverez les excellentes explications de scénario de Pepperman ici
Et la rationalisation et démystification pro-nerd du peu de magie et poésie que notre pauvre film contenait ici Signalons la jouissance feutrée de l’acte qui n’est pas pour nous déplaire bien qu’elle prenne légèrement le pas sur la pédagogie pour le néophyte intéressé.
Quelques pistes de lecture là notamment sur les “trous de ver dans la cosmologie de Randall-Sundrum“ de L. Sacco ici Et enfin un lien sur la 01:54 gravité là