France Télévisions à ultra-gauche toute…on dit STOP ?
Pour devenir directeur des programmes du groupe des chaînes françaises de service public, il faut des connaissances et des compétences. Ça, c’est ce que vous croyez mais, dans la réalité, Stéphane Sitbon Gomez est devenu, à 32 ans, directeur des antennes et des programmes de France Télévisions sans expérience aucune du milieu télévisuel. Vous entendez bien : aucune !
Sans expérience ne veut pas dire sans compétence. Ainsi, il a été le principal collaborateur de Cécile Duflot et il est parrain de sa fille. Il a été directeur de cabinet du groupe des Verts à la Région Ile-de-France et a dirigé la campagne présidentielle d’Eva Joly.
Le bras droit de Delphine Ernotte est donc estampillé “extrémiste de gauche et défenseur de l’écologie radicale“. Il avait donc toute sa place pour devenir le garant de la neutralité et du pluralisme du service public de nos impôts.
Compagnon de Anne-Cécile Mailfert, porte-parole puis présidente du groupuscule d’ultra gauche “Osez le féminisme“, Stéphane Sitbon Gomez a tout compris du fonctionnement d’un service public des copains et de l’entre soi. Pour rejoindre France Télévisions, il avait fait jouer comme intermédiaire un communicant de qualité en la personne de Denis Pingaud, ancien militant de l’organisation LCR d’Alain Krivine et conseiller notamment de José Bové.
En interne, beaucoup considèrent que le directeur des programmes a commis de nombreuses erreurs qui pourraient coûter cher au service public. C’est nier les qualités du personnage qu’il tient de son grand-père Guy Sitbon. Journaliste communiste et écrivain, papi était surtout un excellent homme d’affaires qui avait mis sa famille à l’abri du besoin en faisant fortune avec les sites de minitel porno.
Répétons et répétons encore : la seule voie rapide pour contrecarrer l’influence de ces médias de propagande éhontée, c’est de donner les moyens à la presse alternative d’exister, de se développer, de toucher toujours plus de Français. Le meilleur moyen de réduire les méfaits des médias de service public, c’est de financer TVL ! En tout cas, à court terme, je ne vois pas d’autre solution…