“Bien que cette situation risque de donner des sueurs froides à nombre d’écologistes, les chiffres les plus récents partagés par l’organisme Santé Publique France sont pourtant clairs : on observe une nette amélioration de la qualité de l’air en France depuis le début des années 2000.
Que ce soit en termes de particules ou d’oxyde d’azote, la concentration atmosphérique de ces polluants sur l’ensemble du territoire français a été réduite de moitié durant cette période. En ce qui concerne le dioxyde de soufre, c’est même une baisse de 85% qui été observée.
Mieux, en zoomant sur les seules agglomérations, l’on s’aperçoit que les résultats sont du même acabit. Ainsi l’Île-de-France enregistrait des baisses d’émissions polluantes entre 2000 et 2018 variant de 22 % à 56 % selon les localisations et les polluants considérés.
Et pourtant. 17 septembre