La grande menace - Richard Burton, Lino Ventura, Lee Remick (1978)

La grande menace - Richard Burton, Lino Ventura, Lee Remick (1978) (Royaume-Uni\France: Thriller, Fantastique) Sujet du Film: Brunel (Lino Ventura), un policier français exerçant temporairement à Londres, est désigné pour enquêter sur le meurtre du romancier John Morlar (Richard Burton). Tandis qu’ils examinent le lieu du crime, les policiers découvrent que la victime est toujours en vie, en dépit de graves blessures. Morlar est conduit à l’hôpital, où il est maintenu en vie avec une activité cérébrale à peine perceptible. Avec l’aide du journal de Morlar ainsi que de sa psychiatre, le Dr Zonfeld (Lee Remick), Brunel reconstitue le passé de Morlar, rempli d’inexplicables catastrophes, incluant la mort brutale de plusieurs de ses proches, qu’il n’appréciait pas ou qui l’avaient offensé. Morlar se révèle être un médium avec de formidables pouvoirs télé kinésiques. Alors que son état semble s’améliorer à la grande stupéfaction des médecins, Brunel découvre bientôt que, dégoûté du monde qui l’entoure et totalement misanthrope, Morlar est responsable de deux accidents récents : l’écrasement d’un avion de ligne en plein cœur de Londres, et la perte d’un équipage d’astronautes américains. De son lit d’hôpital, où son activité cérébrale s’emballe à nouveau, il parvient à faire s’écrouler la cathédrale de Westminster à l’occasion d’une cérémonie à laquelle doit assister la Reine ; l’adjoint britannique de Brunel et son supérieur parviennent à empêcher la reine et son mari d’entrer dans la cathédrale, échouant cependant à empêcher l’écroulement de la cathédrale. Parallèlement, Brunel se rend à toute vitesse en voiture à l’hôpital pour débrancher le respirateur de Morlar. Le respirateur débranché, Morlar, toujours dans le coma, écrit péniblement sur un bloc-notes le nom de la centrale nucléaire britannique de Windscale. le dernier plan du film montre l’écran du scanner traçant l’emballement de l’activité cérébrale de Morlar, tandis que le reflet de Brunel montre son impuissance.
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