CÉSARS DE LA LÂCHETÉ

#César2024 #JudithGodreche #JamelDebouzze #lejournaldepersonne Quelle soirée… la moins sacrée peut-être mais sans doute la plus ancrée dans le paysage audiovisuel français… où des Césars sont sacrifiés ou sanctifiés. Premier signe distinctif de cette soirée centrée ou concentrée sur l’insoutenable maltraitance de la femme, cumulée avec l’insoutenable insouciance des hommes. C’est odieux. God…rèche en est témoin assisté et avec insistance. César du premier rôle rendu à toutes les langues bien pendues qui ont la manie de la parole… délatrice et salvatrice en même temps. Dis-moi qui t’a scié, je te dirais qui tu es ! C’est à couper le souffle de tous ceux qui ne se sentent pas encore concernés ! Deuxième signe distinctif de cette soirée massacrée : c’est le bel au moi dormant qu’on appelle Djamel… qui a rendu l’hommage le plus vibrant à Agnès Jaoui sa bienfaitrice qui a selon lui le droit à tous les honneurs dus à son incroyable talent… c’était trop… trop d’honneur pour celui qui n’en avait pas assez sur lui. Pas assez pour froisser ses amis israéliens puisqu’il n’a pas dit un traître mot sur le calvaire des Palestiniens…
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