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Emmanuel Macron, président au centre de la tourmente, continue de naviguer dans les eaux troubles d’une crise financière et budgétaire sans précédent, à laquelle il semble répondre par des diversions savamment orchestrées. Alors que la France se prépare à affronter une dette vertigineuse de 110 milliards d’euros, peu de discussions sérieuses émergent. Les débats sont saturés de fausses annonces et de consultations stériles, laissant peu de place aux véritables enjeux. Macron, qualifié de « machiavélique » par certains, semble manœuvrer pour gagner du temps, espérant que la pression du moment finira par acculer la nation à choisir entre un budget impopulaire ou le non-paiement des fonctionnaires. Cette stratégie de l’évitement ne se limite pas à la sphère financière. Lors des élections européennes, une série de débats sans intérêt ont été organisés, mettant en avant des candidats qui, tous, défendaient la même ligne : rester dans l’Union Européenne. Un choix qui excluait sciemment les 36 % de Français favorables à une sortie de l’Union. La démocratie y a perdu son pluralisme et ses citoyens, leur droit à une opinion réellement équilibrée. Mais les critiques du président ne s’arrêtent pas là. Alexis Kohler, son bras droit à l’Élysée, est au centre d’un scandale de conflit d’intérêts impliquant sa famille et le groupe MSC. Un courrier signé de la main de Macron aurait permis de disculper son secrétaire général, étouffant ainsi une enquête potentiellement explosive. Au-delà des scandales internes, la relation franco-allemande est mise en cause. La France, jugée trop conciliante, se plie aux exigences de l’Allemagne, que ce soit dans le domaine énergétique ou lors des négociations industrielles, à l’image de l’échec de la fusion entre Alstom et Siemens. Tandis que l’Allemagne défend ses intérêts, la France semble s’abandonner dans une relation unilatérale, croyant encore en l’illusion du couple franco-allemand, un fantasme qui n’a jamais pris racine de l’autre côté du Rhin. Pendant ce temps, Bruno Le Maire, ministre des Finances, rêvant d’une carrière littéraire, se voit moqué pour avoir échoué à stabiliser l’économie française. Le comble de l’ironie réside dans la détérioration de la situation financière sous son mandat, un contraste flagrant avec ses ambitions personnelles. Certains appellent à la destitution de Macron, le jugeant responsable de la ruine de la France. Mais cet appel se heurte aux réalités institutionnelles : la destitution, bien que juridiquement possible, s’avère politiquement irréalisable, faute de soutien suffisant au sein du Sénat et de l’Assemblée nationale. Face à cette impasse, Macron vacille, son pouvoir autrefois solide apparaît désormais fragile. Des scandales enfouis, à l’image de l’affaire Mimi Marchand, la reine des paparazzis, jettent une ombre sur son mandat. Cette figure, impliquée dans des affaires douteuses, incarne une mafia silencieuse au cœur même de l’État, pouvant tour à tour protéger ou détruire les figures politiques. Et puis, il y a l’écologie. Macron, sacré « Champion de la Terre », un titre prestigieux offert lors d’une cérémonie empreinte de symbolisme, voit sa couronne ternie par ses promesses non tenues. La fermeture de réacteurs nucléaires et l’annonce de nouveaux projets n’ont été que des slogans vides, concoctés par des cabinets de conseil pour habiller de vert un programme sans substance. Ce président, maître du discours, mais prisonnier de ses propres contradictions, semble à présent engagé dans une fuite en avant, laissant derrière lui une France désabusée, où l’avenir paraît aussi incertain que ses promesses.
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