La cour met fin au huis clos, et diffuse en public les vidéos des viols subis par Gisèle Pélicot

Un débat s’est tenu ce vendredi matin devant la cour criminelle du Vaucluse alors que le président avait décidé que la diffusion des vidéos de viol ne serait plus systématique et à huis clos partiel. Un huis clos pourtant refusé par Gisèle Pelicot en début de procès. Les journalistes judicaires avaient dénoncé une entrave à la liberté d’informer. La cour est donc revenue sur sa décision et la diffusion de ces vidéos redevient publique.
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