Légitimité et royalisme, par Guy Augé

S’il est une constante dans nos sociétés modernes, c’est bien le mépris du citoyen envers les représentants du pouvoir démocratique ; pouvoir auquel il est pourtant contraint d’obéir servilement au nom d’un légalisme justifié par le nombre ou l’opinion. Un Tocqueville le déplore : « Quelque soumis que fussent les hommes de l’ancien régime aux volontés du roi, il y avait une sorte d’obéissance qui leur était inconnue : ils ne savaient pas ce que c’était que se plier sous un pouvoir illégitime ou contesté, qu’on honore peu, que souvent on méprise, mais qu’on subit volontiers parce qu’il sert ou peut nuire. Cette forme dégradante de la servitude leur fut toujours étrangère […] Pour eux, le plus grand mal de l’obéissance était la contrainte ; pour nous, c’est le moindre. Le pire est dans le sentiment servile qui fait obéir (1) ». Seule la légitimité permet l’unité de peuples différents dans l’honneur et le respect de leurs libertés. Article : Chapitres : 00:10 Introduction 01:35 I. La légitimité, ou la transcendance en politique, ou l’autorité obéie librement 03:30 II. Survol historique de la légitimité 05:41 III. Deux conceptions opposées de la souveraineté 12:09 IV. Le retour en grâce de la légitimité 14:16 V. Légitimité et royalisme 24:21 VI. L’irrésistible tradition légitimiste 29:10 VII. Qu’est ce que le légitimisme ? 36:53 VIII. Contenu doctrinal de la royauté légitime 40:56 IX. La légitimité permet la communion politique Nous rejoindre : Telegram : Instagram : Pinterest : Twitter : Facebook: Le site ViveleRoy : UCLF : La fleur de lys refleurira ; Dans les coeurs, elle s’ouvrira. Pour que Vivent nos provinces, pays de France : Vive Dieu et Vive le roi, nos espérances !
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