La trahison de Sarkozy : comment le ’non’ au référendum de 2005 a été contourné !

Dans cette vidéo, Nicolas G. revient sur le référendum de 2005 où les Français ont massivement rejeté la Constitution européenne avec 55 % de votes pour le “non“ contre 45 % pour le “oui“. Il utilise une métaphore, un “chapeau“ qui représente la mémoire d’Internet, pour revisiter des événements importants que beaucoup ont pu oublier. Le référendum de 2005 a été présenté comme un moment crucial pour l’Europe et pour le gouvernement français, qui avait choisi de soumettre la Constitution européenne à un vote populaire plutôt que de passer par le Parlement. La défaite du “oui“ a créé une crise politique et a exposé les divisions internes au sein de partis comme le Parti Socialiste. Deux ans plus tard, après l’élection de Nicolas Sarkozy à la présidence, les choses ont pris une tournure différente. Le “Traité simplifié“ ou Traité de Lisbonne, proposé comme une alternative à la Constitution rejetée, a été approuvé par les 27 dirigeants européens. Cependant, cette fois-ci, la ratification ne s’est pas faite par référendum, mais par voie parlementaire, contournant ainsi le vote populaire de 2005. Nicolas G. utilise des extraits d’archives télévisées pour illustrer comment cette décision a été perçue comme une trahison de la volonté populaire exprimée lors du référendum de 2005. Il encourage les jeunes générations à s’informer sur ces événements pour comprendre leur impact sur la démocratie en France, soulignant que l’incompréhension ou l’indifférence aujourd’hui pourrait mener à des regrets demain. Citations Marquantes : “Les Français rejettent la Constitution européenne : le ’non’ l’emporte largement à 55 % contre 45 % pour le ’oui’.“ “Deux ans plus tard, Nicolas Sarkozy fait passer le Traité simplifié par voie parlementaire, contournant ainsi la volonté populaire.“ “À tous les jeunes de 20 ans aujourd’hui, renseignez-vous, comprenez, car plus tard vous le regretterez.“ #Référendum2005 #ConstitutionEuropéenne #TraitéDeLisbonne #Démocratie #NicolasSarkozy #Jeunesse #PolitiqueFrançaise #af2ci #europe #macron