Placé sous silence. Éric Dupont-Moretti à Angoulême.
Toujours plus de répression de la part des forces de l’ordre d’Angoulême, à noter que j’étais dans un parc public avec vue sur les grillages du centre éducatif fermer. Étant seul je ne représentais aucun danger, quelques mètres plus loin des jeunes de la cité se sont fait repousser par ces mêmes forces de l’ordre, malheureusement ils n’ont pas souhaité m’accorder d’interview.