Pourquoi la question d’un référendum est forcément biaisée

Dans un référendum, il n’y a que deux réponses possibles : oui ou non. Or, c’est loin d’être le cas en ce qui concerne la question posée. Depuis que le référendum existe, ceux qui en sont à l’initiative utilisent la formulation de la question pour tenter d’influencer l’issue du scrutin. Adolf Hitler lorsqu’il demande aux Allemands de valider par référendum l’annexion de l’Autriche ; le Général de Gaulle lorsqu’il demande le plébiscite en 1969 ; et plus récemment, nombre de référendums pour la ratificat
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