Les dessous de cette grosse manipulation pour saboter le procès du lieutenant-colonel Tarik Amirat

Live d’Algérie Part avec Abdou Semmar : Hier le 13 février 2024, le tribunal militaire de Blida a reporté jusqu’au 3 mars prochain dans des conditions troublantes le procès du lieutenant-colonel Tarek Amirat, un ex-haut gradé de la direction de la Documentation et de la Sécurité Extérieure (DDSE), le renseignement extérieur algérien, qui avait été interpellé et ensuite placé en détention à la prison militaire de Blida depuis la mi-août 2022 en raison de son implication avérée dans des faits graves relatifs à un complot ourdi contre le Président de la République, Abdelmadjid Tebboune, et sa famille, ainsi que ses conseillers et de nombreux autres dirigeants militaires ou civils de l’Etat algérien. Comme il avait été révélé à maintes reprises en 2021 et en 2022 par les investigations d’Algérie Part, que vous pouvez relire en consultant notre site internet, le lieutenant-colonel Tarek Amirat a été officiellement inculpé dans une affaire inédite de complot contre la Sécurité et les Institutions de l’Etat pour avoir détourné les moyens et les prérogatives de la cellule anti-subversion de la DDSE, l’une des directions les plus sensibles du Renseignement Extérieur algérien, dans le but manipuler les enquêteurs de la Direction Centrale de la Sécurité de l’Armée (DCSA) en leur distillant des informations dangereuses, mais totalement infondées, pouvant torpiller l’entourage le plus proche d’Abdelmadjid Tebboune, le Président de la République. Sur la base de ces manipulations, la DCSA dirigée à l’époque des faits par le général-major Sid Ali Ould Zemerli, a établi des rapports accablants contre de nombreux dirigeants civils et militaires. Des rapports bidonnés en vérité puisque leurs sources ont été préfabriquées par un réseau de comploteurs composé d’officiers importants du Renseignement extérieur algérien parmi lesquels figurent le lieutenant-colonel Tarek Amirat. Ce réseau d’officiers comploteurs avait orchestré ces manœuvres pour déstabiliser l’institution présidentielle et de nombreux dirigeants militaires ou civils dont certains occupaient des fonctions importantes au sein du gouvernement algérien espérant ainsi renforcer l’influence d’un pouvoir sécuritaire occulte, porté essentiellement par ces officiers comploteurs, lequel voulait imposer ses agendas les plus troublantes au plus haut sommet de l’Etat algérien. Cependant, au moment où ce procès devait se dérouler dans la plus grande discrétion au tribunal militaire de Blida en présence sur le banc des accusés du général-major Sid Ali Ould Zemerli et de plusieurs autres d’officiers du renseignement extérieur, des sources visiblement malveillantes ont fait fuiter des informations confidentielles sur l’identité du seul témoin de cette affaire très sensible, le colonel BENNACER BOUALEM, l’ancien consul d’Algérie à Alicante en Espagne de septembre 2019 jusqu’à début mars 2021, et ancien chef du bureau de sécurité du Consulat d’Algérie à Bobigny dans la région parisienne de 2010 jusqu’à 2013. Des informations manipulées et mensongères ont été, par ailleurs, communiqués depuis Alger à Hichem Aboud, ancien capitaine des services secrets algériens aujourd’hui exilé au Maroc, un canal habituel pour la diffusion de Fake News et des thèses complotistes les plus farfelues sur certaines institutions de l’Etat algérien. Hichem Aboud a été utilisé ainsi par des “officines“ sécuritaires pour exercer des pressions sur le principal et unique témoin du procès du lieutenant-colonel Tarek Amirat en lui attribuant des déclarations totalement mensongères ou trompeuses sur la personne de Saïd Chengriha, Chef d’Etat-Major de l’Armée algérienne. L’objectif clairement affiché est de discréditer ou de d’affaiblir la position du témoin de ce scandale inédit que certains lobbys au sein du pouvoir algérien tentent d’empêcher, voire de compromettre pour protéger Tarek Amirat et ses complices. Nos révélations. #tebboune #abdousemmar #algériens #pouvoir_algérien #alger #algeriepart #algérie #blida #servicessecrets #france #paris #rome #hirak #gaid_salah #chengriha #boualemboualem #justicemilitaire #manipulations #maroc #hichemaboud #DCSA #renseignement #complot #espagne #alicante
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