LE SAINT ET L’ASSASSIN

#Israël #Hamas #Palestine #Gaza #lejournaldepersonne Quand on est seul contre tous On ne peut être qu’un héros ou un saint. C’est clair ! Seuls ceux qui l’ont assassiné disent le contraire. C’est ce que j’ai trouvé ce matin, en cliquant sur ce machin Le saint n’est pas mort. Il est encore plus vivant que son assassin. On peut comparer le premier à Che Guevara, le second à Caligula. L’un est opprimé, l’autre oppresseur. Le premier dépossédé, le second possesseur. Le monde n’a d’yeux que pour l’usurpateur. Il diabolise le saint et divinise l’assassin. Inversion ou perversion ? On fait passer le saint pour un salaud et l’assassin pour un héros pour que toute vérité sonne faux ! Mon paradoxe le voici, le voilà : Le sionisme l’a emporté partout… excepté à Gaza ! Le saint leur a dessiné un chemin, légué un destin, celui que Sisyphe avait jadis emprunté, ils vont le poursuivre jusqu’au retournement de l’Histoire. Ce n’est pas signé comme les territoires occupés !
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