Justice pour les victimes - (Charlotte d’Ornellas)

En quelques secondes sa vie a basculé. Il y a neuf mois, son mari, Philippe Monguillot, chauffeur de bus à Bayonne, était lâchement assassiné par trois racailles. “Aucune famille ne doit plus jamais vivre ce que nous vivons depuis neuf mois. Aucun citoyen ne doit redouter l’heure du coucher, ce moment terrifiant ou toutes les angoisses surviennent. Personne ne doit vivre ou redouter la perte d’un être cher dans des circonstances gravissimes.“ La lettre de Véronique Monguillot :
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