Salvatore Adamo - La femme au piano

Sur la colline, une maison Qui tend vers nous ses bras de roses Sur la terrasse, à son piano Une femme, en robe blanche Les notes claires qui s’élèvent Prennent le vent et puis se posent Comme des pétales sur le sol En douce pluie en avalanche Et elle sourit, la douce dame Et ses doigts dansent sur l’ivoire Une note lui caresse l’âme Et lui raconte des histoires Et elle joue, la douce dame, Des jours, des nuits et des années Riant sous le ciel qui s’enflamme Pleurant la neige en plein été La dame aux cheveux blancs si longs Va se poser sur son épaule Une colombe qui sans façon Ose troubler sa rêverie Lui chuchotant des choses étranges Dont jamais l’idée ne la frôle Qui font rougir la jeune femme Et la font soupirer, ravie Et tout au long de mes dimanches Je m’enivrais du concerto, Lors
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