PROGROM OU SYNDROME ?

#Gaza #Israël #Palestine #Ghaza #Netanyahu #7octobre #terrorisme #hébreux #musulmans #lejournaldepersonne J’ai l’impression qu’entre les musulmans et les hébreux, la paix n‘aura pas lieu. Un jour peut-être ? Sait-on jamais ! Aucun des deux n’a l’intention de cesser le feu. Les deux camps campent sur la position de leurs aïeux, chacun faisant valoir son devoir de mémoire sans se souvenir de Dieu, même s’il n’y en a qu’UN pour les deux. C’est ce qui explique que leur contentieux n’est pas seulement politique mais aussi et surtout symbolique et religieux. C’est le benjamin parmi eux a dit le mot qui risque de rendre le mal encore plus radical : “Nous sommes le peuple de la lumière, eux sont le peuple des ténèbres. » en parlant de ceux qui ont inventé l’algèbre. Pour une région, on aura droit à une guerre entre deux religions où chaque belligérant prétend être plus proche du Dieu qui l’a rendu propriétaire des lieux. Pour la Palestine, c’est le passé simple. Pour Israël, le passé composé. Le 7 octobre toute cette prose a explosé ! Pour les hébreux c’est un pogrom. Pour les musulmans, c’est un syndrome. Un syndrome révélant qu’il y avait déjà péril en la demeure : pour que l’un vive, il faut que l’autre meure ! Sur une terre promise, la solution de deux états semble à jamais compromise. Pour que ce soit fini, il faut que le plus gros extermine le plus petit. Les hébreux qui ont toute la terre avec eux, s’apprêtent à mettre le feu dans tous les foyers musulmans sans exception pour ne pas laisser s’échapper le moindre serpent venimeux. Tout le monde le sait mais tout le monde feint de l’ignorer qu’en ciblant les reptiles, ils n’abattront que les civils. Car aucun terrorisme n’a jamais mis fin au terrorisme. C’est un truisme. «Il n’y a pas de vérité plus banale : on ne soigne pas le mal par le mal». L’invasion de Gaza sera donc débile et stérile. Parce qu’elle ne fera que multiplier les raisons de la colère et démultiplier les folies meurtrières. Nous savons tous, hélas ce qui attend les musulmans. Mais nul ne sait ce qui attend les Hébreux…