Les Somatides - Gaston Naessens

L’orthobiologie somatidienne L’histoire de cette découverte de Gaston Naessens débute à la fin des années 1940, avec l’invention d’un microscope très particulier, le somatoscope. Les microscopes optiques conventionnels permettent un grossissement maximal de 1 800 fois. Les microscopes électroniques sont capables de grossissements de millions de fois, mais les objets observés doivent être séchés et fixés de sorte que seuls leurs « squelettes » sont observables. Le somatoscope permet d’atteindre des grossissements de 30 000 fois de la matière vivante - comme le sang -, et de voir évoluer « en direct » les micro-organismes qui s’y trouvent. C’est grâce à cet instrument optique très puissant que M. Naessens a découvert que le sang contenait des micro-organismes différents des virus et des bactéries, qu’il a appelés somatides. Selon ses observations, les somatides se transforment en fonction de l’état du système immunitaire d’une personne, ce qui permettrait, à l’aide d’un simple test sanguin, de dépister des maladies dégénératives, comme le cancer par exemple, et d’établir le stade d’évolution de la maladie. Les somatides seraient la plus petite entité vivante connue et « l’élément organisationnel fondamental » des organismes vivants. Même si ces recherches suscitent de plus en plus en plus d’intérêt, elles n’ont, pour le moment, été sanctionnées par aucune autorité officielle. Ce principe fondamental de vie, mis en exergue par Antoine Béchamp et Gaston Naessens, est d’une importance capitale pour le maintien de la bonne santé. Il a été honteusement délaissé par la médecine universitaire au profit du “tout pasteurien“, et son apologie de la vaccination. Nous fabriquons donc nos propres antigènes qui se révèlent toxiques en fonction de l’état du “terrain“. Le “terrain“ est le moyen privilégié au maintien naturel de la bonne santé. C’est un des fondement de la Biotic’attitude. Les somatides sont l’équivalent des microzyma découverts par Antoine Béchamp. Antoine Béchamp fut contemporain de Louis Pasteur qu’il accuse d’avoir repris ses propres théories en dénaturant leur sens profond et d’avoir ainsi orienté la médecine dans une forme d’impasse. Il ne craint pas d’affirmer en réponse à un collègue, le docteur Vitteaut : «Je suis le précurseur de Pasteur, exactement comme le volé est le précurseur de la fortune du voleur heureux et insolent qui le nargue et le calomnie» « Béchamp avait raison, le microbe n’est rien, le terrain est tout » aurait dit Pasteur durant les derniers jours de sa vie. Il aurait même ajouté : « C’est Claude qui a raison », en parlant de Claude Bernard.
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