TUNIS ALGER TRIPOLI

#tunisie #algérie #libye #démocratie #tunis #alger #tripoli #lejournaldepersonne #corruption On a découvert enfin que « la démocratie » ne rime pour ainsi dire à rien… elle coûte plus qu’elle ne rapporte… elle sert la liberté mais sa liberté ne sert à rien… ça démange mais ça ne mange pas de pain. La démocratie n’est pas si sûre, elle rassure mais ne rend pas les hommes moins immatures. C’est ce que l’arabe de la rue semble avoir découvert à Tunis comme à Alger, à Alger comme à Tripoli que la démocratie n’est qu’une couverture pour couvrir les plaies qu’elle ne cesse d’ouvrir. Dans le pot de confiture, qui est d’ailleurs hors de prix, l’arabe qui pouvait se le payer, y découvrait le goût amer de sa propre déconfiture. C’est ce qui s’appelle : le pot pourri de la réalité : mi-figues mi-raisins. Les arabes seraient ils incapables de démocratie ? Ou c’est la démocratie qui n’est pas si fiable que ça ? C’est cette seconde hypothèse qui leur semble la plus probable et qui rend la démocratie quelque part peu souhaitable. Que dit l’arabe vacciné contre le virus de l’occidentale vérité ? Il dit que : Ce qui tue la démocratie, c’est la corruption. Or c’est la corruption qui maintient la démocratie en vie. Donc tout ce qu’elle nous promet n’est que de l’ paradoxe avec un brin de génie qui pousse le réalisme politique jusqu’au cynisme moral : Étant donné que le mal démocratique est partagé par le plus grand nombre, il est démocratiquement bon. Freedom !
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