Booking: 00 387 61 600 309
Jall aux yeux:
Mirzah Piralić: vokal
Adnan Suljanović: bubanj i perkusije
Jasmin Hadžisadiković: gitara, mandolina
Marko Ivaniš: bas
Jure Petrović: gitara
Izdavač: Croatia Records
Audio: Studio Amadeus Bihać (Nemdžad Alić)
Muzika i tekst: Darko Rundek
Aranžman: Jasmin Hadžisadiković
Kamera: Džemal Ćatić - Đema i Elvir Hadžić
Montaža: Elvir Hadžić
Hvala: Tihana Ostreš, Pavlica Bajsić Brazzoduro i Centar mladih Ribnjak, Ida Erceg, Marita Bitanga, Erko Duratović
Paroles:
Moi j’aime passer mes mauvais jours tout seul
À boire et à traîner dans les troquets
mais je n’arrive seulement
qu’à son regard
Ena est une femme splendide,
Ena le sait très bien
Que ça finira tôt le matin
C’est pour ça qu’elle m’appelle
Pour me donner la main
Moi, Ena, j’suis pas ton fils, rappelles t’en bien
tu peux faire ça avec lui
pour moi ça n’vaut plus rien
Ena aimerait bien
Que je lui appartienne
Et qu’elle m’ait toujours dans ses bras
Mais moi, j’en étais
jamais là
Et quand je dis à Ena, que je suis malade
De mes fuites et de ses embuscades
Elle ferme les yeux et
Elle dit, alala
Ne part pas sans manteau
Regarde tout est blanc, c’est l’hiver
N’oublie pas ton manteau
Il faut marcher longtemps, c’est l’hiver
Moi, Ena, j’suis pas ton fils, rappelles t’en bien
tu peux faire ça avec lui
pour moi ça n’vaut plus rien
Le temps passe vite
Et après de nombreuses fuites
J’ai oublié mon propre nom
mais celui d’Ena, restait sur mon front
Quand j’ai un mauvais jour
C’est dans les bars
Que je demande aux zonards
S’ils l’ont vu et si elle a le même regard
Elle est toujours belle
C’est la grande classe
mais une ombre bleu souvent chasse
La lueur d’espoir de ses yeux noirs
Moi, Ena, j’suis pas ton fils, rappelles t’en bien
tu peux faire ça avec lui
pour moi ça n’vaut plus rien
Faut pas perdre son temps
Il n’y a plus d’espoir
Regarde, tout est blanc, c’est l’hiver