C’est la NASA elle-même qui le dit !
Voici à suivre 2 déclarations plus ou moins involontaires de hauts gradés de la NASA révélant que les humains n’ont encore jamais franchi les Ceintures de radiations mortelles Van Allen que la NASA continue à étudier...
- la première est de Terry Virts, Commandant de l’US Air Force et Astronaute de la NASA le 16/03/2015 sur Euronews
- la deuxième est de Kelly Smith, ingénieur de la NASA en 2014 dans une vidéo promotionnelle du projet Orion.
« - Comment assurons-nous la présence
d’humains dans l’espace ?
- Oh, c’est une grande question, euh...
le plan qu’a la Nasa, c’est de construire une fusée appelée SLS
(Space Launch System), qui est une fusée pour transports lourds.
Quelque chose qui est beaucoup plus gros
que ce qu’on a aujourd’hui
et il sera possible de lancer la capsule Orion
avec des humains à bord,
de même que les landers et autres composants
destinés à passer au-delà de l’orbite Terrestre.
Actuellement, nous ne pouvons voler que dans l’orbite Terrestre,
c’est ce qu’il ya de plus loin où nous pouvons aller.
Ce nouveau système que nous construisons
va nous permettre d’aller au-delà
et si tout va bien, emmener les humains
dans le système Solaire pour explorer, donc
la Lune , Mars, des Astéroïdes, il y a beaucoup
de destinations où nous pourrions aller
et nous construisons ces blocs de composants
dans le but de nous permettre de faire ça en réalité. »
« Alors que nous nous éloignons de plus en plus la Terre,
nous allons passer à travers les Ceintures Van Allen
une aire de dangereuses radiations...
De telles radiations peuvent endommager systèmes de navigation,
ordinateurs de bord et autres appareils électroniques à l’arrivée.
Naturellement, nous devons passer à travers cette zone
de danger deux fois... une fois à l’aller... et une fois au retour.
Mais Orion a une protection, un bouclier sera exposé aux tests
alors que le véhicule coupe à travers les vagues de radiations.
Des capteurs embarqués enregistreront
les niveaux de radiations pour être étudiés.
Nous devons résoudre ces défis avant que nous envoyions
quelqu’un à travers cette région de l’espace...
Pour ce vol, il est temps de retourner à la maison. »