Derrière ce texte trés léger de Paul Fort se cache les horreurs de la Première Guerre Mondiale
Car ce poème, écrit en 1917 par le Poète, évoque en réalité les soldats de la Grande Guerre, les Poilus.
Dans L’Alouette, le poème intitulé «Le bonheur» commence par ces vers : « Le bonheur est dans le pré. Cours-y vite, cours-y vite Si tu veux le rattraper, cours-y vite, il va filer. » Mais il se termine tristement : « Saute par-dessus la haie, cours-y vite ! Il a filé ! »
En fait, le bonheur a filé sur le pré