4185 soldats français engagés aux côtés de l’armée israélienne contre Gaza. Destitution de Macron

Afin d’éviter toute confusion : ce ne sont pas officiellement des soldats de l’armée française, ils n’en demeurent pas moins des militaires... français, complices d’actes de guerre horribles contre les Palestiniens. La France a-t-elle déclaré la guerre à la Palestine, pour que des Français se sentent autorisés à combattre dans les rangs d’une armée d’un pays étranger, au mépris de la loi et sans que, ni les citoyens, ni la représentation nationale n’en aient été informés ? Europe1 a mené une enquête qui a révélé l’implication des soldats français. L’engagement de plusieurs milliers de militaires français aux côtés de l’armée israélienne, accusée de perpétrer un crime de guerre contre les Palestiniens à Gaza, 17 000 morts selon l’ONU, est un laisser-faire grave de la part de Macron, qui justifie sa destitution dans les plus brefs délais. L’image de la France est une nouvelle fois souillée. Le député LFI, Thomas Portes, dénonce la présence de plus de 4000 Français engagés dans l’armée israélienne sur le front de Gaza et demande qu’ils soient traduits en justice pour crimes de guerre : Voilà les sanctions et condamnations qu’encourent les 4185 soldats Français engagés dans l’armée israélienne, en vertu de l’article 23-8 du code civil : « Perd la nationalité française le Français qui, occupant un emploi dans une armée ou un service public étranger ou dans une organisation internationale dont la France ne fait pas partie ou plus généralement leur apportant son concours, n’a pas résigné son emploi ou cessé son concours nonobstant l’injonction qui lui en aura été faite par le gouvernement. L’intéressé sera, par décret en Conseil d’État, déclaré avoir perdu la nationalité française si, dans le délai fixé par l’injonction, délai qui ne peut être inférieur à quinze jours et supérieur à deux mois, il n’a pas mis fin à son activité. Lorsque l’avis du Conseil d’État est défavorable, la mesure prévue à l’alinéa précédent ne peut être prise que par décret en conseil des ministres ». Le Sénat vient de supprimer l’article 4 d’un projet de loi qui attentait gravement à la liberté des soins et à la liberté d’expression en matière scientifique et médicale. Pétition contre la loi interdisant la liberté des soins et la liberté d’expression à propos des politiques sanitaires (lancée par Guillaume Chopin) :
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