Né en France d’un père géorgien et d’une mère arménienne, Boulat OKOUDJAVA s’était, au sein de l’Union Soviétique, forgé la réputation d’être l’équivalent russophone de Georges BRASSENS.
À l’initiative et avec l’aide de ma compagne, Julia, romaniste et slavisticienne, je vous propose une adaptation, en langue française, d’un prière par lui interprétée, en réalité inspirée d’un texte de François VILLON, poète médiéval du XV°s.
Contrairement à d’autres traductions de chansons slaves, je n’ai pas nécessairement respecté l’ordre initial des mots, afin de privilégier la rythmique et l’esprit du style précatif.